Dans la région de Pont-Audemer, où trouver des bonnes tables ? Un guide édité par Eurêka
Eurêka a sorti la première édition de son guide des bonnes tables de l’Eure. Jeudi 1er août 2024, l’équipe a fait halte chez Franck et Cathy Ouvrier de Bourneville-Sainte-Croix
Par François Lefebvre Publié le 7 août 2024 à 16h30
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Le guide des bonnes tables, c’est un nouveau petit livre de référence de la gastronomie dans l’Eure, gratuit et digitalisé. Conçu par Eurêka (téléchargeable depuis son site), l’agence du Département en charge du développement du tourisme et de l’attractivité, il recense « 100 expériences gourmandes ». Il s’agit d’une synthèse des différents guides qui existent déjà. « C’est une sélection d’une sélection », résume Thomas Elexhauser, le président d’Eurêka en tournée avec « Jean-Mich », le combi vitrine de l’agence. L’équipe d’Eurêka rend visite aux 43 restaurateurs sélectionnés conjointement par le nouveau guide des bonnes tables et le Routard.
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Jeudi 1er août 2024, l’équipe d’Eurêka fait halte chez Franck et Cathy Ouvrier qui tiennent la Tourelle gourmande à Bourneville-Sainte-Croix. Cette visite est aussi une occasion de remettre la plaque « Guide du Routard » offerte par l’agence Eurêka.
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Ces restaurateurs ne sont pas les seuls du secteur à figurer en bonne place dans ce nouvel ouvrage de référence. Localement, à Pont-Audemer, y figurent les établissements suivants : le Belle Isle sur Risle, le Bistrot du Havre, le Sadi Carnot, Le Vieux puits et la crêperie le Sara’Zin. Il y en a pour tous les goûts et tous les budgets, à l’image du Caesar Burger de Routot, de la pizzeria Una pizza di Napoli de Beuzeville. Il y a encore l’Auberge de L’Écurie à Routot également, Le Restaurant du phare de Saint-Samson-de-la-Roque, L’Auberge du Cochon d’or et la brasserie le XV de Beuzeville ; la Table de Léonie à Cormeilles ; le Tosny d’Épaignes, l’Echiquier de Tilly à Boissey-le-Châtel, Le Petit coq aux champs de Campigny et enfin L’Entrepont de Berville-sur-Mer.
« Un vrai plus »
« Ce nouveau petit guide, c’est un vrai plus pour nous », témoigne Franck Ouvrier qui prend en exemple le Parc naturel régional des boucles de la Seine normande. « Lors de notre installation en 2018, cela nous a beaucoup apporté. » D’autant que le tourisme est paradoxalement dans un creux en province, alors que le pays reçoit les Jeux olympiques. « C’est unanime, tout le monde vous dit que c’est un petit peu plus difficile cette année », convient Didier Guéréard, président du syndicat de l’Union des métiers et des industries de l’hôtellerie.
